Skulls&Bones

(HRP) Ceci était mon RP de départ, posté sur le forum de vendetta il y a 10 mois à la suite d'un petit malentendu entre Gold et moi. Pour ceux qui n'étaient pas là à l'époque: J'ai quitté la direction de la F.S. (plus vieille alliance du serveur 7) quand elle était en plein déclin, pas parce que je ne voulais pas aider mes membres, mais parce que je ne me sentais pas assez bon pour les remonter au top, parce que l'ambiance était de moins en moins bonne, parce que mes alliés d'une coalition m'ont tenu responsable de l'échec d'une où je n'ai jamais été et parce que Gold et moi étions dans le plus grand froid qu'il pouvait y avoir.(/HRP)

« Skulls&bones »

Têtes et os, voilà ce qui traîne depuis trois mois dans l’autrefois sainte ville de San Francisco. Des milliers d’yeux se sont tournés vers leur téléviseur et des mains ont fermées tous les volets dans chaque maisons. « Bienvenue à tous et à toutes au journal de 7 heures. Aujourd’hui, nous parlerons encore des règlements de comptes mafieux ayant eu lieu aujourd’hui et… » CLIC. Je décides de fermer mon téléviseur, je sais déjà tout ce qui s’est passé. Vous ne me connaissez pas nécessairement tous, alors, je vais m’introduire. Mon nom, il restera secret. Mais, mon surnom, vous le connaissez tous : Moimeme. Je suis le chef de la légendaire F.S., un des grands stratèges de la guerre ayant démoli cette ville. Si vous lisez ceci, c’est que je suis déjà mort. Ceci est mon testament pour cette ville. Un atout pour comprendre ce conflit et remonter aux sources de tous les problèmes qui y sont. Si toi, lecteur, fais partie de la police, s’il te plait, fais ton possible pour arrêter les coupables. Tout sauf ma mort a été écrit par moi. Ma mort, un type a pris le relais pour que vous puissiez tout connaître.

Vous savez déjà tout ce qui s’est passé, mais vous n’en connaissez pas nécessairement la cause. Fin mars 2007, une guerre éclate entre F.S. et Dmon pour un simple amusement. Je sais très bien que vos, civils, allez nous trouver barbares, mais c’est tout de même la cause d’origine. Quelques heures après, les RDogs se joignent à nos adversaires pour enger des attaques faites par un de mes membres contre les siens. Je n’ai plus de chances ou presque. Pour tous les Dons, c’est l’annonce d’un massacre. La plus vieille alliance de cette ville risque de tomber avec ses alliés. Certains vont même jusqu’à dire que la mafia est en train de perdre ses personnages importants, ses fondateurs dans cette ville. C’est un fait qu’en voyant deux grands se faire arrêter par la police, on ne peut pas croire à une puissance toujours existante et inébranlable pour la mafia. Voyant l’impasse dans laquelle nous sommes, les LEDMs se sont alliés à nous et ont décidé de nous aider. Après un mois de résistance suivent deux mois de massacre absolu. Tous les camps se font autant massacrer ou presque. Suis ensuite le mois de juin, trêve générale. C’est maintenant où nous sommes rendus. Vous connaissez maintenant toute l’histoire.

Je peux dire n’avoir que trois regrets dans cette vie. D’abords, le fait de possiblement quitter la F.S. me fait mal au cœur. Je me suis tellement impliqué dans cette alliance que, les membres pourront vous le confirmer, elle est rendue une partie de moi. Mes administrateurs pourront vous le confirmer, j’ai été très sentimental cette dernière semaine, surtout que j’entrevois de laisser mon alliance entre les mains d’un autre. J’ai confiance en lui, certes, mais il est difficile de se défaire d’une institution en laquelle vous croyez, une institution que vous avez fondée, une institution qui est votre depuis si longtemps! Ensuite, mon second regret est d’avoir choqués quelques uns en insultant Goldkawas en ces lieux. Je garde mon opinion, bien entendu, mais je m’excuse tout de même pour les propos énoncés. Ils étaient entièrement grossiers, mais, vous le savez tous aussi bien que moi, la colère contre une personne peut vous forcer à faire certaines imbécillités. Puis, finalement, je regrette de devoir laisser mes membres dans un moment où ils ont besoin de moi. Cela ressemble beaucoup à mon premier point, mais c’est entièrement différent selon moi. S’il vous plait, vous, lecteurs inconnus, faîtes part de ces regrets aux personnes concernées. Ne faillissez pas aux dernières volontés d’un homme. Maintenant, je pars, me ferai-je tuer? Reviendrai-je? Seul le temps y répondra. Je laisse Léon vous faire part du reste. Adieu San Francisco, je ne sais pas si je pourrai te revoir au levé du jour, ou si tu me reverras dans un de tes nombreux cimetières.

Léon, continue ici :

Alors, comme mon défunt chef vous l’a dit, je vais vous relater les événements de la manière la plus précise possible.

Onze heures trente, Tout le monde se prépare à partir. Les voitures filent vers le quartier général de Jami. Je monte dans l’auto de Moimeme. À toutes les deux minutes, il se prend une gorgée de fort. Probablement le stress qui le lui fait faire. Le trajet dure environ une demi-heure. Pendant ce temps, personne n’ose briser le silence de mort régnant dans le véhicule. Dès l’arrivée, je cours me poster à l’endroit prévu puis, je mets mes jumelles et prend mon calepin. Le combat n’est pas encore commencé. Jami est dehors, il nous attendait. Les deux hommes parlent. Mon chef reste impassible et Jami n’est que plus frustré qu’il en est possible. Les deux se retirent. Moimeme restes en avant de ses hommes, Jami va s’asseoir confortablement à son bureau. Les troupes arrivent. Les miens sont rapidement encerclés. Ils ne peuvent plus manœuvrer. Ils lancent alors un cri à glacer le sang, un cri montrant tortue leu détermination, un cri signifiant qu’ils iraient jusqu’à la mort pour défendre leurs valeurs. Les tirs commencent. Les F.S. se font tous tuer les uns après les autres. Tous tombent. Tous sauf Moimeme. Qui continue de tirer et infliges quelques pertes minimes à ses ennemis, à nos ennemis. Après quinze minutes, tout s’arrête. Il n’y a plus que Moimeme contre toute la flotte ennemie. Ils baissent leurs armes croyant qu’il allait fuir. Il tire dans la vitre du bureau de Jami, la balle passe à un cheveu de lui. Les autres rappliquent alors et vident leurs chargeurs sur son corps maintenant inerte. Un grand est mort ce soir. Sa mort suffira-t-elle? Nous verrons cela. Il a écrit les premières pages, maintenant, c’est à vous de continuer l’histoire. Vous pouvez en faire autant, ne vous défendez qu’une chose : Vos principes et vos valeurs. Voilà ce qu’il m’a enseigné, voilà ce qu’il vous lègue à tous. Moi, n’essayez pas de me retrouver. Je suis déjà mort. J’en avais assez de cette vie de mafia, seul mon chef m’y rattachait. Vous me trouverez mort, sur le parquet de mon domicile, une balle ayant traversé ma tête de part en part.




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